Sourate I.
La Liminaire.
(Al-Fâtiḥa.)
Cette sourate paraît avoir été désignée, du vivant de Mahomet, sous le nom d’al-Maṯânî ou d’as-Sab‛ al-maṯânî, probablement : « Les Sept versets à répéter dans l’Oraison ».
Ce texte forme un tout qui se distingue nettement de l’ensemble du Coran. Ce n’est ni une admonition ni une formulation dogmatique ou juridique. C’est une prière, ou comme dit Goldziher : « le Pater Noster de l’Islam ». Ainsi que le Pater Noster, cette sourate se termine par un appel au Seigneur, seul capable de préserver l’Homme du mal et du péché.
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